dimanche 7 septembre 2014

Ce soir ou jamais






J'étais invitée vendredi soir dans Ce soir ou jamais sur le thème " pourquoi avons-nous l'impression de vivre la rentrée la plus catastrophique de la Vème République ? ".

Pour voir le replay, c'est ici : CLICK CLICK.

( Sinon, j'ai un peu mis ce blog en sommeil parce que je manque de temps actuellement - le boulot, ce sot besoin de manger trois fois par jour donc de gagner sa croûte, tout ça - mais je le rouvre dès que je le retrouve la possibilité ! )


11 commentaires:

  1. Bon, on l'a compris, que vous voulez vendre votre bouquin !

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    1. Bon, on l'a compris, que vous êtes jaloux et frustré.

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  2. Ah non, pas du tout.
    Comme tous les gens qui écrivent un bouquin, je cherche essentiellement à ne PAS le vendre.
    En fait, mon objectif premier est qu'il ne soit lu par PERSONNE.
    Je l'ai écrit dans le seul et unique but de me le coller au front.


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  3. Vu à la télé. La taulière est plutôt jolie, mais ce chemisier avec les bras en transparence, ce n'est tout simplement pas possible.

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  4. J'ai fini par réussir à vous voir (le lien ne me renvoyait qu'à des extraits sur lesquels vous n'apparaissez pas...).
    Je ne regarde jamais la télé. Chaque fois que je vois des morceaux d'émissions politiques telles que celle-ci, et elle est certainement l'une des meilleurs, je suis atterré. A quoi ça sert ? Chacun y lance ses arguments, la moindre contestation se transforme en brouhaha... A quoi cela mène-t-il ? Où sont passés raison, sens, vérité...? Tout ça n'est que spectacle, ou presque...
    Mais bravo à votre mot sur l'inévitable affrontement entre BCE et Allemagne, entre Draghi et Merkel, et bravo à votre conclusion sur la souveraineté !
    Sans souveraineté, plus de politique, plus de démocratie, plus rien, si : la servitude.

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  5. bonjour Coralie,
    vous avez donc fini par retrouver vos chakhras :-)?
    Comment est-il possible de tenir plus de deux minutes face à ce c.nnard de Jacques Attali? Cet homme est, avec Jacques Delors, l'artisan du tournant de la rigueur de 1983, dont nous récoltons aujourd'hui les fruits extrêmement amers!
    Et une fois sa "belle ouvrage" finie, il a le culot de nous ordonner de nous démerder?!! Heureusement que vous avez détendu l'atmosphère par votre remarque caustique sur le rôle de l'Etat comme self-service de l'accomplissement de soi... Quelle ordure, ce type! Pourquoi continue-t-on à donner la parole à un pseudo-penseur qui s'est, au mieux, trompé si on est charitable et ou plus vraisemblable, à un ennemi du peuple, allié des possédants? Il ne faut rien attendre de cet homme ultra-dogmatique et cassant.
    Bravo également d'avoir tenter démontrer la mauvaise foi crasse d'Attali sur le mandat de la BCE (car l'homme est à ce point cassant qu'il pratique l'argument d'autorité à tour de bras...) : contrairement à ce que ce butor a osé déclaré, M.Monti est obligé de s'asseoir sur les Traités pour affronter Mutti Merkel sur le terrain de la croissance. Mais là, je pense que le conseiller des Prince n'a pas tout à fait tort sur l'issue du combat entre la BCE et la RFA car si les événements vous donnent raison, c'est euro qui va tomber: y croyez-vous vraiment?

    Enfin, j'ai été assez déçu par la prestation d'Etienne Chouard, que j'ai trouvé hors-sujet: pour dire, il m'est arrivé d'être d'accord avec Attali dans la majorité des objections qu'il a soulevées sur la faisabilité d'un vote par tirage au sort...

    CVT

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  6. Si on vous invite sur cette émission qui autrefois était de haute tenue intellectuelle, c'est qu'elle n'a plus rien à dire et qu'elle peut mourir de sa belle mort.

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    1. Oui, tout à fait.
      Pareil pour vous qui étiez auparavant un grand génie : si vous venez traîner sur ce blog, c'est que ça sent vraiment le sapin pour vous.

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  7. Que ça sente le sapin je n'en disconviens pas mais où avez-vous vu que j'avais du génie ?

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    1. Elle a eu la délicatesse de considérer que vous étiez en mesure de saisir le second degré, visiblement ce n'est pas le cas. CQFD

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  8. Dommage qu'on ne vous ait laissé qu'un rôle de faire valoir, néanmoins votre discours était pertinent et plutôt courageux dans le contexte et je vous en félicite.

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